mercredi 27 mai 2015

La vrai joie


Par Watchman Nee

Quand nous renonçons au bonheur extérieur et aux plaisirs du monde, nous sommes enclins à croire que la Croix a mis la dernière main à l'œuvre de grâce accomplie dans notre vie.

Nous ne réalisons pas que l'annulation en nous de l'ancienne création exige une œuvre complémentaire: c'est cette Croix-là qui nous attend.

Dieu désire nous voir mourir à Sa joie et vivre pour Sa volonté. Même si nous nous sentons heureux à cause de Dieu et de la proximité de Sa personne (par contraste avec la joie que nous procuraient les choses charnelles et terrestres), l'objectif de Dieu n'est pas de nous rendre participants de Sa joie, mais serviteurs de Sa volonté.

Il y a une grande différence entre la volonté de Dieu et la joie de Dieu. La première est toujours présente, car nous pouvons contempler la pensée de Dieu dans Ses arrangements providentiels; tandis que la seconde n'est pas toujours là puisqu'on ne l'expérimente que dans certaines circonstances et à certains moments. Quand un chrétien recherche la joie de Dieu, il choisit la partie de Son dessein qui le satisfait; il ne désire pas toute Sa volonté!

Mais celui qui trouve sa vie dans la volonté de Dieu, celui-là obéira sans s'inquiéter de ce que Dieu peut lui faire ressentir ou non. Aussi bien dans la joie que dans la souffrance, il peut discerner dans ses circonstances un arrangement voulu de Dieu.

Lorsque le chrétien a fait quelques progrès spirituels, Dieu entreprend de lui retirer la consolation et la joie qu'II avait coutume de lui accorder à l'heure de la souffrance ou de l'obéissance. Désormais il doit accepter la souffrance sans rien avoir qui puisse stimuler l'intérêt qu'il porte à la volonté de Dieu. Tout est aride et quelconque. Par cette manière de faire, Dieu cherche à découvrir le mobile exact qui pousse le chrétien à Lui obéir. C'est comme s'II lui demandait: "Es-tu prêt à te soumettre à une activité qui n'a absolument rien pour te plaire? Peux-tu le faire, simplement parce que c'est Mon plan? Seras-tu capable de mettre la main à Mes affaires quand tu te sentiras déprimé, dévitalisé et sec? Peux-tu l'accepter parce que c'est Moi qui te le demande?"

C'est là, sur le plan pratique, une épreuve par laquelle Dieu nous demande si nous vivons pour Lui par la foi, ou si nous vivons pour nous-mêmes par ce que nous ressentons. Vivre pour le Seigneur, c'est vivre pour Sa volonté, pour Son intérêt, pour Son royaume. Sous ce régime-là, il n'est fait aucune concession à notre bien-être, à notre satisfaction personnelle, à notre prestige. Celui qui peut tout accepter avec joie de la main du Seigneur, y compris les ténèbres, la sécheresse, la langueur, complètement désintéressé de lui-même, c'est celui-là qui vit pour le Seigneur.

Une vie de foi, c'est une vie vécue en croyant Dieu en toute circonstance. "Quand même Il me tuerait, dit Job, je croirais encore en Lui". C'est cela, la foi. Dans la vie des chrétiens les plus avancés, il semble que cette apparente désertion de Dieu ne leur a pas été épargnée. Notre foi en Dieu pourrait-elle rester inébranlée si nous nous trouvions un jour dans semblable extrémité? Connaissez-vous cette proclamation de John Bunyan, auteur du "Voyage du pèlerin", au moment où les hommes s'apprêtaient à le pendre? "Si Dieu n'intervient pas, je ferai le saut dans l'éternité avec une foi aveugle, vienne le ciel ou l'enfer!" Quel héros de la foi! A l'heure désespérée, pouvons-nous dire, nous aussi: "Ô Dieu, quand même Tu m'abandonnerais, je persisterais à Te croire!" Le cœur commence à douter quand tout est obscur pour lui, mais la foi tient ferme en Dieu, même en face de la mort.

Comme il y en a peu qui atteignent ce niveau! Comme notre chair s'insurge contre un régime dans lequel Dieu est notre unique compagnon de route!

Porter sa croix inspire à l'homme une répulsion instinctive, qui a compromis bien des vies spirituelles, parfois irrémédiablement.

La tendance est de se réserver quelque menu plaisir pour la satisfaction de notre cœur naturel. Si les chrétiens avaient le courage du sacrifice total, dans l'ardente fournaise de Dieu, ils avanceraient à pas de géant dans leur chemin spirituel.

Des hommes qui se mettent intégralement entre les mains de Dieu, sans aucune considération pour leurs réactions émotives, voilà le besoin criant de l'heure présente.

Il ne faudrait surtout pas donner à l'exposé qui précède un sens qu'il n'a pas. Signifierait-il que la joie n'a plus droit de cité chez nous, qu'elle va perdre sa place dans nos vies?

Mais non! "La joie par le Saint-Esprit" n'est-elle pas une des plus grandes bénédictions du Royaume de Dieu (Romains 14:17)?

Le Saint-Esprit n'a-t-Il pas la joie pour fruit (entre autres)? Mais s'il en est ainsi, comment expliquer cet apparent illogisme? Il suffit de constater qu'il y a une joie que nous perdons dans notre vie émotive, mais celle que nous gagnons dans notre vie spirituelle est l'effet d'une foi devenue pure; elle ne peut être détruite. Une foi de cette qualité déploie ses effets en nous à une profondeur inaccessible à notre vie psychique.

En devenant spirituels, nous voyons s'éteindre la vieille attraction du plaisir, et tous les anciens appâts de la félicité terrestre. Mais la paix et la joie de l'Esprit, engendrées par la foi, subsiste à toujours.

Pour marcher selon l'Esprit, le chrétien doit être aveugle au scintillement de sa vie émotive. C'est la foi qui doit inspirer tous ses mouvements. Les béquilles que sont les sensations merveilleuses dont la chair est si friande ont été mises au rebut.

Quand il obéit à l'Esprit, le croyant n'éprouve aucune crainte s'il n'a plus le concours de ses sens, ou si ses sens le contrecarrent. Mais le sentiment remplace l'intuition chaque fois que sa vie spirituelle est en baisse. Sans la foi, personne ne peut vraiment avancer.

vendredi 15 mai 2015

La face cachée de l'évolution théorie trompeuse

Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils furent créés. Lorsque l'Eternel Dieu fit une terre et des cieux, 5aucun arbuste des champs n'était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore: car l'Eternel Dieu n'avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n'y avait point d'homme pour cultiver le sol. 6Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. 7L'Eternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.8Puis l'Eternel Dieu planta un jardin en Eden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé. ( Genèse 2, 4-8 ) 


lundi 11 mai 2015

Plus de 365 Prophéties confirment le fait que Jésus-Christ est le fils de Dieu et le seul vrai sauveur du monde

Avant de vous citer ces preuves, sachez que Jésus-Christ a dit lui-même : “Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi” (Jean 14.6). "Si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés" (Jean 8.24). Dans Jean 3.18, la parole déclare : "Celui qui ne croit pas est déjà jugé parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu." Dans Jean 3.36, nous lisons : "Celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui." L'apôtre Pierre a proclamé dans Actes 4.12 : "Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés."

Les signes, les prodiges et les miracles qu'il a accomplis le confirment ! Aucun autre personnage de l'Histoire n'a accompli de telles choses ! Il a guéri tous les malades qui ont demandé son aide : toutes les maladies qu'on peut imaginer. Il a calmé les tempêtes. À deux reprises, il a multiplié les pains et les poissons miraculeusement pour nourrir plus de 4000 personnes. Il a défié la nature en marchant sur les eaux. Il a ressuscité les morts, et il a surtout vaincu la mort lui-même, ressuscitant trois jours après sa crucifixion !

Les témoignages de centaines de personnes de l’époque confirment la réalité que Jésus-Christ est le Fils de Dieu : le seul vrai Sauveur du monde (1 Cor 15.1-18). Il est réellement mort et ressuscité ! Personne n'a pris sa place. De la croix il a parlé à Jean qui était à côté de Marie, sa mère terrestre, pour qu'il prenne soin d'elle. Il est mort pour nos péchés, et il est ressuscité pour notre justification. Ce qu'il a dit est donc vrai : le ciel existe ; le châtiment éternel aussi : un lieu qui sera le sort éternel de toute personne qui ne croira pas et qui ne deviendra pas un vrai disciple de Jésus-Christ.

L’envoi du Saint-Esprit du ciel confirme sa divinité, sa Seigneurie, et sa place en tant que seul Sauveur (Actes 1.4-8, 2). Aujourd’hui, plus de 300 millions de personnes ont fait l’expérience de la Pentecôte avec le signe de parler en langues miraculeusement comme les premiers chrétiens. Le Seigneur avait promis de l'envoyer. Il l'a fait et il le fait encore. Le Saint-Esprit témoigne ainsi que Jésus-Christ est réellement ressuscité, et vivant aujourd'hui.                            

PLUS DE 365 PROPHÉTIES CONFIRMENT LE FAIT QUE JÉSUS-CHRIST EST LE FILS DE DIEU ET LE SEUL VRAI SAUVEUR DU MONDE. 

Les prophéties citées à la fin de cet article prouvent que Jésus-Christ est notre seul espoir. Mais avant de vous donner cette liste-là, je voudrais vous citer des prophéties étonnantes mentionnées par le prophète Daniel et les apôtres du Christ. La liste et les explications proviennent du “Manuel Biblique de Halley”. Nous recommandons ce manuel à tous les étudiants de la Bible. Voici ce que Halley a dit :

DANS LE LIVRE DE DANIEL AU CHAPITRE 9, LA DATE DE LA VENUE DU MESSIE A ÉTÉ PROPHÉTISÉE PLUS DE 400 ANS EN AVANCE !

La captivité du peuple d’Israël, qui à ce moment-là approchait de son terme, avait duré 70 ans. Daniel est informé par un ange que “70 semaines” s’écouleraient encore avant la venue du Messie (v. 24).

On s’accorde généralement pour comprendre ces “70 semaines” comme étant 70 semaines d’années, c’est-à-dire, 70 fois 7 ans, ou sept fois 70 années, soit 490 ans. C’est comme si l’ange disait : “La captivité a duré 70 ans ; la période entre la captivité et la venue du Messie durera sept fois cela.”

Le chiffre sept, et les cycles de sept, ont parfois des significations symboliques ; pourtant, les faits réels que l’on peut appliquer à cette prophétie sont vraiment étonnants. Ainsi :

La date à partir de laquelle il fallait compter les 70 semaines était celle du décret ordonnant la reconstruction de Jérusalem (v. 25). Trois décrets furent publiés par les rois perses dans ce but : en 536 avant Jésus-Christ, en 457 et en 444 (voir sous Esdras). Le principal était celui de 457.

Les 70 semaines sont subdivisées en 7 semaines, 62 semaines et 1 semaine (v. 25, 27). Il est difficile de voir à quoi s’appliquent les “7 semaines” ; mais 69 semaines (y compris les 7) totalisent 483 jours, soit, sur la base de la théorie du jour-année (Ézéchiel 4.6), qui est l’interprétation la plus communément acceptée, 483 ans.

Ces 483 ans sont donc la période s’écoulant entre le décret ordonnant la reconstruction de Jérusalem et la venue du “Messie” (v. 25). Le décret, comme on l’a vu plus haut, fut publié en 457. Si l’on ajoute 483 ans à 457 avant Jésus-Christ, on arrive à l’an 26 de notre ère, l’année même où Jésus fut baptisé et commença son ministère public. Quel accomplissement remarquable de la prophétie de Daniel, à une année près.

De plus, Jésus fut crucifié au bout de 3 ans et demi, c’est-à-dire, “durant la moitié de la semaine” le “Messie” fut “retranché” pour “expier l’iniquité et amener la justice éternelle” (v. 24, 26, 27).

Ainsi, Daniel non seulement annonça à l’avance l’époque à laquelle paraîtrait le Messie, mais aussi la durée de son ministère public, ainsi que sa mort expiatoire pour le péché humain.

Ce qui est encore plus étonnant est la découverte récente par Yacov Rambsel que partout dans l'ancien testament le nom de Jésus (Yeshoua en hébreu) est codé et répété dans divers endroits. Son nom est souvent codé dans les passages prophétiques. Commençant avec Daniel 9.26, par exemple, qui parle du Messie, si on commence avec la lettre "yod" en hébreu et compte de droite à gauche, mettant toutes les 26 lettres ensemble, nous trouvons le nom de Jésus (Yéshoua) répété ! Dans Youtube ou Dailymotion, si vous inscrivez dans le case de recherche la phrase"Le Nom de Yéshoua (Jésus) Codé dans la Torah (Bible), vous trouverez une vidéo révélante un grand nombre de passages où le nom de Jésus (Yéshoua) est codé. 






Prophéties de l’Ancien Testament au sujet du Christ citées dans les Évangiles : Il convient de donner ici la liste des prophéties de l’Ancien Testament qui sont citées dans les quatre Évangiles, en particulier Matthieu, comme se référante à Christ. La plupart d’entre elles se réfèrent clairement au Messie…. 

Il serait issu de la famille de David :

Matthieu 22.44 ; Marc 12.36 ; Luc 1.69 ; 20.42-44 ; Jean 7.42 ; 2 Samuel 7.12-16 ; Psaume 89.4,5 ; 110.1 ; 132.11 ; Esaïe 9.5,6 ; 11.1

Il naîtrait d’une vierge :

Matthieu 1.23 ; Esaïe 7.14

Il naîtrait à Bethléhem :

Matthieu 2.6 ; Jean 7.42 ; Michée 5.1

Il séjournerait en Egypte :

Matthieu 2.15 ; Osée 11.1

Il vivrait en Galilée à Nazareth :

Matthieu 4.15 ; Esaïe 9.1 : Matthieu 2.23 : Esaïe 11.1

Sa venue serait annoncée par un messager rappelant Elie :

Matthieu 3.3 ; 11.10-14 ; Marc 1.2,3 : Luc 2.4-6 ; 7.27 ; Jean 1.23 ;

Esaïe 40.3-5 ; Malachie 3.1, 4.5

Sa venue serait l’occasion d’un massacre d’enfants à Bethléhem :

Matthieu 2.18 ; Genèse 35.19,20 ; 48.7 ; Jérémie 31.15

Il proclamerait un jubilé au monde entier :

Luc 4.18,19 ; Esaïe 58.6 ; 61.1

Sa mission toucherait aussi les Gentils (c’est à dire les non-juifs) :

Matthieu 12.18-21 ; Esaïe 42.1-4

Il aurait un ministère de guérison :

Matthieu 8.17 ; Esaïe 53.4

Il enseignerait en paraboles :

Matthieu 13.14,15,35 ; Esaïe 6.9,10 ; Psaume 78.2

Les chefs ne le croiraient pas et le rejetteraient :

Matthieu 15.8,9 ; 21.42 ; Marc 7.6,7 ; 12.10,11 ; Luc 20.17 ; Jean 

12.38-40 ; 15.25 ; Psaumes 69.5 ; 118.22 ; Esaïe 6.10 ; 29.13 ; 53.1

Il ferait une entrée triomphale à Jérusalem :

Matthieu 21.5 ; Jean 12.13-15 ; Esaïe 62.11 ; Zacharie 9.9 ; Psaume 118.26 

Il serait comme un berger frappé :

Matthieu 26.31 ; Marc 14.26 ; Zacharie 13.7

Il serait trahi par un ami pour 30 pièces d’argent :

Matthieu 27.9,10 ; Jean 13.18 ; Zacharie 11.12,13 ; Psaume 41.10

Il mourrait avec des malfaiteurs :

Luc 22.3 ; Esaïe 53.9,12

Il serait enseveli avec un homme riche :

Esaïe 53.9 ; Matthieu 27.57-60 (fait affirmé, sans citation de la prophétie)

On lui donnerait du vinaigre et du fiel :

Matthieu 27.34 ; Jean 19.29 ; Psaume 69.22

Ses vêtements seraient tirés au sort :

Matthieu 27.35 ; Jean 19.24 ; Psaume 69.19

Ses dernières paroles en mourant sont annoncées en avance :

Matthieu 27.46 ; Marc 15.34 ; Luc 23.46 ; Psaumes 22.2 ; 31.6

Aucun de ses os ne serait brisé :

Jean 19.36 ; Exode 12.46 ; Nombres 9.12 ; Psaume 34.20

Son côté serait transpercé :

Jean 19.37 ; Zacharie 12.10 ; Psaume 22.17

Il ressusciterait des morts le troisième jour :

Matthieu 12.40 ; Luc 24.46. Aucun texte particulier de l’Ancien Testament n’est cité à cet égard, cependant, le fait qu’il ressusciterait des morts est clairement cité en Actes 2.25-32, 13.33-35, à partir du Psaume 16.8-11. Jésus a dit qu’il était écrit qu’il ressusciterait le troisième jour (Luc 24.46). Il a dû penser à Osée 6.2 et Jonas 1.7, ainsi qu’à la délivrance d’Isaac de la mort le troisième jour(Genèse 22.4).

Son rejet serait suivi de la destruction de Jérusalem et d’une grande tribulation :

Matthieu 24.15 ; Marc 1314 ; Luc 2120 ; Daniel 9.27 ; 11.31 ; 12.1,11

Jésus lui-même comprit que par sa mort il accomplissait l’ Écriture :

Matthieu 26.54,56

Voici donc une constatation étonnante : toute l’histoire de la vie de Jésus, ses grands traits, événements et faits dans les plus petits détails, est prédite clairement dans les écrits de l’Ancien Testament. Ces prophéties ont été écrites il y a des centaines et des milliers d’années avant leur accomplissement en Christ. N’est-ce pas une preuve éclatante de l’existence et de l’action d’un ESPRIT qui transcende l’esprit humain à un point qu'il nous remplit de crainte respectueuse ? 

JÉSUS-CHRIST EST VRAIMENT NOTRE SEUL ESPOIR ! Il a dit : “Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi” (Jean 6.37). La Bible déclare : “Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé” (Rom. 10.13). “Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse trouvera miséricorde”

(Prov.28.13). “Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier  de toute iniquité” (Jean 1.9). "Celui qui se déclarera publiquement que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu" (1 Jean 4:15). “Celui qui se livre au péché devient esclave du péché. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libre” (Jean 8.36). “Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit” (Actes 2.36). “Si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ, il ne lui appartient pas” (Rom.8.9). Si vous invoquez le Seigneur sincèrement, il vous sauvera. Le Saint-Esprit est donné à ceux qui lui obéissent et qui le demandent.

VOICI LA LISTE DES 365 PROPHÉTIES. 

Lisez avec étonnement, et comprenez combien Dieu nous aime et veut nous sauver. L'apôtre Pierre a écrit au chapitre 3 de sa seconde lettre : "Dieu use de patience envers nous, ne voulant qu'aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance." Néanmoins, comprenons que sans une pleine repentance et une pleine foi en Christ, personne n'aura d'espoir.

dimanche 10 mai 2015

Nous devons posséder une vraie Foi

Par A.W. Tozer
Frank BartlemenBeaucoup trop de chrétiens croient que Christ est un peu plus qu'une idée ou encore mieux, un idéal, mais Il n'est pas une réalité. Des millions de croyants parlent comme s'Il était réel mais agissent comme s'Il ne l'était pas. Notre position actuelle doit toujours être découverte par la manière dont nous agissons et non par la manière dont nous parlons. Nous pouvons et nous devons démontrer notre foi par nos œuvres. 
Nous devons prouver notre foi ou démontrer notre foi par notre dévouement envers elle et d'aucune autre manière. N'importe quelle croyance qui ne dirige pas la personne qui l'a, n'est pas une véritable croyance; ce n'est qu'une croyance de substitution. Nous serions choqués si soudain nous étions amenés face à face avec nos propres croyances et que nous étions obligés de les tester dans le feu de la vie pratique et quotidienne. 
Beaucoup de chrétiens sont devenus extrêmement adroits en arrangeant leurs vies tout en admettant la vérité du christianisme mais sans se laisser embarrasser par tout ce que cela implique. On s'arrange afin que l'on n'ait pas besoin d'une aide divine et parallèlement, on prétend la chercher. On se vante dans le Seigneur mais ne souhaite pas être vu comme étant dépendant du Seigneur. "Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant. Qui peut le comprendre ? " Jérémie 17 : 9. 
La fausse croyance ou la pseudo-croyance prévoit toujours une issue de secours au cas ou Dieu aurait décidé autrement. La vraie foi ne connaît qu'une seule issue et accepte joyeusement le châtiment lorsque nous agissons de manière anti-chrétienne ou selon des croyances de substitution ! Car la vraie foi, c'est Dieu ou sinon c'est l'enfer. Depuis que Dieu a créé l'homme, Adam, Il n'a pas une seule fois déçu un seul homme ou une seule femme qui croyait en lui. 
La personne se trouvant dans la pseudo-foi va défendre ses croyances verbales mais refusera platoniquement de se trouver dans une situation où son avenir doit absolument dépendre de sa fameuse croyance. Elle va toujours prévoir une issue de secours au cas où le ciel lui tomberai sur la tête ! Ce dont nous avons vraiment besoin maintenant, c'est d’un groupe (formant une famille) de chrétiens qui soient prêts à croire en Dieu aussi fermement aujourd'hui qu'ils savent que cela doit en être ainsi au dernier jour. Pour chacun de nous, l'heure viendra sûrement où nous ne posséderions rien d'autre que Dieu. La santé, les richesses, les amis et les cachettes seront balayés et nous n'aurons que Dieu. Pour la personne ayant sa fausse croyance ou sa pseudo-croyance, rien que cette pensée l'effraye mais le vrai croyant avec la vraie foi, reçoit cela comme la pensée la plus confortable pour enchanter son cœur. 
Ce serait une tragédie d'arriver dans ce lieu où Dieu nous conduira, où nous n'aurions rien d'autre que Dieu et de découvrir que finalement nous n'avions pas cru en Dieu durant notre séjours sur terre ! 
Ce serait mieux d'inviter Dieu maintenant et de se débarrasser de toutes fausses croyances, de dégager nos cœurs des lieux cachés et de les dévoiler là où nous pourrions découvrir par nous-mêmes si oui ou non, nous avons la vraie foi en Dieu ! C'est une manière très dure de guérir de nos fautes mais c'est une manière sûre et c'est la seule ! Une guérison plus douce serait trop faible et inefficace ... et nous n'avons plus beaucoup de temps.

Référence: The Price of Neglect (Le Coût de la Négligence)chapitre 3, A.W. Tozer
         Source : Sentinelle Nehemie

vendredi 8 mai 2015

Dieu me connaissait

Dieu veut que tous viennent au Salut , Il ne veux pas qu aucun se perdent, mais vous avez des choix à faire. Votre choix sera Éternel. Assurez-vous de faire le bon ! Ce Salut se trouve en Jésus seul .Le moyen par lequel vous pouvez avoir une libre entrée en confessant que vous avez péché contre lui et que vous avez besoin de son pardon.
Dieu existe bien et il n'y a pas de hasard. Tous auront à lui faire face un jour ou l'autre. Vaut mieux maintenant entrant dans sa grâce pendant que vous êtes encore en vie plutôt qu'après avoir quitté se corps de chair et devenu comme la majorité de cette génération sans espoir. Attendant le  juste et terrible jugement d'un Dieu Saint qui ne peut pas toléré le péché et ceux qui l'on pratiqué sans se réfugié dans son plan parfait du Salut en son fils Jésus-Christ. Afin de passer l'éternité à ses cotés !




Dieu me connaissait par diddl2007

jeudi 7 mai 2015

Abandon complet et consécration à Dieu

Par Christian Röckle
Frank BartlemenRien ne peut introduire la gloire de Dieu dans la vie de Ses enfants, aussi bien que leur abandon total au Seigneur. C'est le moyen par excellence pour obtenir tout ce que Dieu veut nous donner. C'est le chemin pour parvenir à la sanctification, à la guérison et au baptême de l'Esprit, pour recevoir la puissance de prêcher l'Évangile et pour imposer les mains aux malades, afin qu'ils guérissent. 
La voie par laquelle le feu divin pénètre dans une âme passe par un abandon plus profond que nos paroles ne sauraient le dire. Ne vous contentez pas de la grâce qui vous a été faite, mais plongez-vous en Dieu. Si vous n'arrivez pas à la sanctification, si vous n'obtenez pas votre guérison ni votre baptême de l'Esprit, alors livrez-vous plus profondément à Dieu, jusqu'à parvenir à un abandon qui soit fondé sur le roc. Ces mots ne renferment rien que Dieu ne tienne à notre disposition ou qu'Il nous refuserait. Mais c'est à nous de le désirer sérieusement, de creuser jusqu'au fond, et d'obtenir un cœur parfaitement honnête aux yeux de Dieu. Il existe des hauteurs et des profondeurs de consécration que nous n'avons pas encore atteintes. 
Si vous cherchez la guérison pour votre corps, abaissez-vous devant votre Dieu et vous l'obtiendrez, dès qu'Il aura atteint son but en vous. 
Peut-être a-t-on déjà prié pour vous? Cependant, si vous n'avez pas été guéri, c'est probablement parce que Dieu vous demande une consécration plus profonde. Demeurez dans la prière et luttez avec Dieu, comme vous le faites pour votre salut, votre sanctification et votre baptême de l'Esprit. Cette condition étant requise, vous obtiendrez votre guérison. 
Ils sont nombreux ceux qui comptent sur les prières des autres. Mais si vous vous attendez à ce que d'autres luttent pour vous, vous n’atteindrez pas le but; c'est vous-mêmes qui devez persévérer dans la prière. J'ai lu ce témoignage: "Ma santé était ruinée. Je n'avais plus que la peau sur les os, lorsque Dieu, le Tout-Puissant, m'a guéri. Je n'ai pas recouvré la santé par une simple prière de la foi, mais après avoir déposé ma vie aux pieds de Jésus et Lui avoir livré jusqu'à la plus petite parcelle de force qui me restait. Lorsque j'avais tout consacré au Seigneur, la guérison pour mon corps souffrant et délabré est venue. Et je vais la 
conserver, car j'ai fait une alliance avec le Dieu Tout-Puissant: J'ai promis de Lui consacrer ma vie, s'Il me redonne la Santé" Nombreux sont ceux qui font de tels vœux, mais qui ensuite ne tiennent pas parole. Sachez que si vous faites une alliance avec Dieu pour Lui consacrer votre vie, il ne faut pas la rompre, sinon la maladie revient. 
Il faut également passer par un abandon complet pour livrer son propre Moi à la mort. Bien que sauvés, sanctifiés et baptisés du Saint-Esprit, il vous reste encore une vie du Moi, la propre volonté, qui doit être réprimée, brisée et assujettie. C'est en ce sens que Paul écrit: " Je traite durement mon corps et je le tiens assujetti " (1 Corinthiens 9:27); " Chaque jour je suis exposé à la mort " ( 1 Corinthiens 15:31 ). Si donc le grand apôtre Paul a du assujettir son corps, à combien plus forte raison ne devrions-nous pas le faire également, et anéantir le propre Moi, afin de parvenir à la première résurrection ! Notre âme sanctifiée, dont le propre Moi a été réellement livré à la mort, sera affranchie de la colère et de l'impatience. Il n'y aura plus d'irritation si tout ne va pas selon nos désirs. Nous ne rendrons plus la pareille à celui qui nous offense, mais nous dirons avec le crucifié: " Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font ". 
Cependant, même ceux qui ont pris leur décision pour une sanctification totale, et qui en ont déjà atteint un degré élevé, découvrent qu'ils ont encore une propre volonté, leur propre Moi. Pour l'empêcher de régner à nouveau, il doit être anéanti et tenu dans une soumission permanente, en sorte que Dieu puisse 
exercer, jour par jour, sa parfaite souveraineté dans leur vie. Telle est 1'oeuvre que la grâce opère en profondeur; elle doit progresser tant que nous demeurons dans ce corps. Il est un abandon profond auquel ne parviennent que peu de chrétiens. Lorsque toutes les choses extérieures, amis, possessions, foyer et proches parents ont été remis au Seigneur, il reste à faire un abandon plus profond; Dieu attend de chacun qu'il le fasse. Sa profondeur est telle que les mots nous manquent pour l'exprimer. Il ne s'agit pas de nos familles, maisons et propriétés, car elles sont l'objet d'un abandon extérieur. Et même celui-ci, peu de chrétiens le réalisent. La preuve en est, que, si Dieu met la main sur ces choses, avant d'obtenir la victoire, ils doivent d'abord se vaincre eux-mêmes pour les Lui livrer. L'abandon total a lieu entre notre âme et notre Dieu. Il se fait dans la prière secrète, en tombant sur sa face devant le Seigneur, luttant avec Dieu, jusqu'à ce que nous soyons amenés à Lui livrer, sans réserve, le fond même de notre pensée et de nos désirs. Nous serons alors arrivés au point où nous ne souhaitons et ne demandons plus autre chose que de plaire et d'obéir au Seigneur. Ainsi, nous sommes entièrement disponibles pour Dieu et séparés de tout ce qu'Il ne peut agréer. 
Les opinions humaines - les nôtres et celles d'autrui - ne nous influencent plus, car nous voulons vivre uniquement selon la volonté de notre Seigneur. Une pareille consécration est la voie pour obtenir la puissance. 
Toutes les fois que par la prière nous nous présentons devant le Seigneur, dans l'attente d'une effusion particulière sur une activité, ou d'une puissance particulière pour guérir les malades, il nous faut commencer par nous consacrer nous-mêmes à Dieu, prêts à accepter de porter tout fardeau - même le plus lourd - dont Il pourrait nous charger, si tel était son bon plaisir. 
On objectera peut-être qu'il ne faut pas demander des épreuves difficiles qui, de toute façon, ne nous manqueront guère. Néanmoins, si nous venons à Dieu avec des requêtes particulières, prions-Le d'allumer dans notre vie le feu de l'épreuve. Nous recevrons le feu, mais également la bénédiction. Il permettra que notre âme connaisse la persécution et l'opposition. Laissons-les venir et soyons fermes. Dieu veut avoir un peuple qui ne craigne pas les épreuves — fussent-elles les plus dures — un peuple purifié, blanchi et éprouvé. Nous sommes appelés à souffrir avec Lui si nous voulons régner avec Lui. Dieu cherche des martyrs véritables, des hommes et des femmes qui sont décidés à rester fermes et à porter l'opprobre de l'Évangile. Jésus nous prépare pour que nous soyons en état de régner avec Lui dans la gloire. " Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu " — également les épreuves de la fournaise ! 
Dieu nous demande de renouveler nos consécrations en approfondissant celles que nous avons pu faire, il y a peut-être un an. Nous découvrirons qu'il nous faut à nouveau tomber à genoux pour consacrer plus profondément ce qui l'a déjà été précédemment. Dieu veut que nous nous détachions de toute chose, et que nous coupions tout lien qui pourrait nous retenir. Devant une épreuve difficile, tenons ferme et approfondissons notre consécration. Maintenons tout sur l'autel. Si nous désirons obtenir ce que Dieu a de meilleur pour nous, il faut y mettre le prix, Jésus a souffert avant d'être glorifié; nous devons prendre le même chemin que Lui. A moins de souffrir avec Lui, nous n'aurons point de part à Son Corps glorifié. 
L'Écriture dit que l'épreuve de notre foi est plus précieuse que l'or périssable (1 Pi 1:7). L'or doit passer au creuset pour être fondu. La fournaise chauffe jusqu'au point où le fondeur y voit sa propre figure. En vous et en moi, Jésus-Christ allume un feu jusqu'au moment où, ses yeux abaissés sur nous, Il verra Sa stature. Ainsi, Il aura un peuple qui est purifié, blanchi et éprouvé. Job a dit: " Il sait néanmoins quelle voie j’ai suivie; et s'Il m'éprouvait, je sortirais pur comme l'or " (Job 23:10). Il sera également nécessaire que le ciseau nous soit appliqué, ça et là, tant que nous ne sommes pas en état de trouver notre place dans le 
Temple de la Nouvelle Jérusalem. Souvenons-nous que, " lorsqu'on bâtit le Temple, on se servit de pierres toutes taillées, et ni marteau ni hache, ni aucun instrument de fer ne furent entendus dans la maison pendant qu'on la construisait " (1 Rois 6:7). Jésus-Christ prépare les matériaux pour la Nouvelle Jérusalem qui descendra du ciel et, si nous voulons être des pierres vivantes dans le Saint Temple, nous devons d'abord nous soumettre au ciseau.

 Référence: Editions Philadelphia
           Source : Sentinelle Néhémie

mercredi 6 mai 2015

Jésus

Lorsque le Logos a été fait chair, pour reprendre l'expression de l'apôtre Jean, "Jésus" est le nom que Dieu le Père a choisi pour lui.

... elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Matthieu 1:21

C'est son nom de naissance, celui qui lui fut donné lors de sa venue ici bas comme un simple homme  :

Le huitième jour, auquel l’enfant devait être circoncis, étant arrivé, on lui donna le nom de Jésus, nom qu’avait indiqué l’ange avant qu’il fût conçu dans le sein de sa mère. Luc 2:21
C'est le nom du  "fils de l'homme"  venu sauver ce qui était perdu. Matthieu 18:11

Jésus", en grec Iêsous, provient de l’hébreu yechoua’, veut dire :  l’Eternel est salut.

C'est intentionnellement que Dieu a donné à son fils le nom de Jésus, afin que tous sachent qu'en lui est le salut de Dieu et qu'il n'y en a pas d'autre.

Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. Actes 4:12

Les premiers prédicateurs de l'Évangile avaient un message simple et clair : Ils prêchaient Jésus et en Lui le pardon des péchés, la vie éternelle, la résurrection des morts, le jugement à venir, la guérison et toutes les promesses de Dieu..

Pierre, rempli du Saint-Esprit, leur dit: Chefs du peuple, et anciens d’Israël,  puisque nous sommes interrogés aujourd’hui sur un bienfait accordé à un homme malade, afin que nous disions comment il a été guéri,  sachez-le tous, et que tout le peuple d’Israël le sache! C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous.

Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l’angle.

Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. Actes 4.8/12

Remarquons l'introduction de ce passage : Pierre rempli du Saint-Esprit leur dit....

Pour parler convenablement de Jésus, il est indispensable d'être inspiré et animé par le Saint-Esprit qui seul le connait parfaitement et rend véritablement témoignage de Lui. 

Jésus a dit : Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi; et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement. Jean 15.26

Ils annonçaient Jésus, en se référant, pour les juifs aux écrits de l'Ancien Testament et pour les païens au Dieu unique, créateur des cieux et de la terre, par opposition aux faux dieux.

Ceux qui avaient été dispersés allaient de lieu en lieu, annonçant la bonne nouvelle de la parole. Philippe, étant descendu dans la ville de Samarie, y prêcha le Christ.

Les foules tout entières étaient attentives à ce que disait Philippe, lorsqu’elles apprirent et virent les miracles qu’il faisait. Car des esprits impurs sortirent de plusieurs démoniaques, en poussant de grands cris, et beaucoup de paralytiques et de boiteux furent guéris. Et il y eut une grande joie dans cette ville. Actes 8.4/8

Et nous, nous vous annonçons cette bonne nouvelle que la promesse faite à nos pères,  Dieu l’a accomplie pour nous leurs enfants, en ressuscitant Jésus, selon ce qui est écrit dans le Psaume deuxième: Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui. Actes 13. 32/33 

Sachez donc, hommes frères, que c’est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé,  et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse. Actes 13.38/39 

Il faut souligner qu'ils prêchaient Celui qu'ils avaient trouvé, rencontré, suivi, Celui en qui ils croyaient. Ils le connaissaient dans leur propre vie comme le Fils de Dieu, le fils de l'homme, leur Sauveur et leur Seigneur.

Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph. Jean 1:45

Jésus est Seigneur, son nom est au dessus de tout autre nom :

C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au–dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus–Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. Philippiens 2.9/10

Cela signifie que Jésus possède l'autorité en tout et sur tout. C'est un puissant encouragement pour notre foi.
Il dit : tout ce que vous demanderez "en mon Nom" je le ferai.

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père; et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.
Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai.  Jean 14.17

En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom. Jean 16:23

Le nom de Jésus est la garantie de l'exaucement de nos prières.

Lorsque nous parlons et agissons en son Nom, c'est son autorité qui est déterminante et non la notre.

Il dit encore  :
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris. Marc 16.16

Soyons conscient de l'autorité du Nom de Jésus lorsque nous l'invoquons dans la prière, dans nos paroles et dans nos actions.

Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père. Colossiens 3:17

Jésus est le nom béni pour ceux qui croient en Lui, qui sont devenus ses disciples. Nous le prononçons avec affection, avec respect et avec foi.

L'apôtre Paul, un de ceux qui le connaissait le mieux, a écrit de Lui :

Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés.

Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.  Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.

Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.  Il est la tête du corps de l’Eglise; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier.

Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui;  il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.

Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises œuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair,  pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche,  si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l’espérance de l’Evangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel.Ephésiens 1.3

L'Evangile c'est la Bonne Nouvelle de Jésus. Il est le centre et l'objet de la prédication, ainsi qu'il l'a ordonné lui-même  :

Jésus nous a ordonné de prêcher au peuple et d’attester que c’est lui qui a été établi par Dieu juge des vivants et des morts. Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés.

Ces paroles prononcées par l'apôtre Pierre ont amenés ceux qui les ont reçues avec foi, à recevoir l'Esprit de Dieu. Actes 10.34/46

Je vous annonce Jésus, selon ce qu'Il a dit lui-même : Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait, et qu’il ressusciterait des morts le troisième jour,  et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. Luc 24:46 

Que le Seigneur dirige vos cœurs vers l’amour de Dieu et vers la patience de Christ! 2 Thessalonic 3:5

Source :  Pasteur Web