dimanche 10 août 2014

La véracité et la puissance de la Bible




« Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Eternel, Et comme un marteau qui brise le roc ? » Jérémie 23.29
«Depuis mille huit cents ans, les incroyants essayent de réfuter et de rejeter ce livre. Cependant, il se dresse, aujourd’hui encore, aussi solide que le roc. Sa propagation augmente et il est plus aimé, plus partagé, plus lu, aujourd’hui, que jamais auparavant. Les incroyants, malgré leurs assauts, font autant impression sur ce Livre qu’en ferait un homme frappant avec un petit marteau sur une des pyramides d’Egypte. » (H.L Hasting.)
Voici ici un article clé qui permettra à chacun d’avoir les principaux éléments venant appuyer avec force la véracité et la puissance de la Bible à la lumière de l’histoire, de l’archéologie. Bien qu’il existe bien d’autres éléments en dehors du cadre de l’histoire et de l’archéologie, cet article se concentrera principalement sur ces aspects en s’appuyant évidemment sur quelques références mondiales en la matière.
La plus grande histoire de tous les temps avec une morale et une fin heureuse c’est l’histoire de la Bible. Dieu créa le monde mais celui qui est la couronne de cette création, l’homme et sa femme, ont décidé de vivre en dehors des directives divines. Le résultat c’est qu’ils se trouvèrent en grand danger d’une calamité présente et éternelle que l’on constate sans forcer en regardant le monde et la morale d’aujourd’hui. Mais Dieu, dans la personne de son Fils, a lancé une grande opération de sauvetage dans laquelle se trouve une audacieuse stratégie incluant la mort et la résurrection du héros : Jésus-Christ. L’histoire conclue que tous ceux qui acceptent ce salut, dans le monde entier, vont vivre cette vie que Dieu avait prévue pour eux au commencement de la création ! La mort et toute souffrance seront ainsi englouti pour ne laisse place qu’à la vie et la joie éternelle en communion avec Dieu.

Le Nouveau Testament est rempli de références à un peuple, des lieux et des événements. Comment savons-nous que ce livre que nous avons et lisons, n’est pas juste une compilation de contes de fées avec une bonne morale ? Ce que vous croyez de la Bible déterminera toute votre destiné éternelle. Est-ce que cette histoire sur le ciel et l’enfer n’est qu’un mythe, une légende ? Ou est-ce que vous croyez que cette Bible est la Parole de Dieu totalement inspirée ? Alors vous pouvez fonder votre vie entière sur ce qui se trouve dans ses pages et vous découvrirez avec Joie que la parole de Dieu contenu dans la Bible peut devenir vivante et ses promesses se réaliser. (lire cet article sur les prophéties :prophéties bibliques et celui ci sur la science : Science et foi).

Beaucoup de monde ont cherché à prouver l’authenticité de la Bible par des faits historique ou scientifiques. Certes, il existe beaucoup d’éléments de cette nature tendant à prouver sa véracité et nous en verrons ici quelque uns. Bien sur, beaucoup d’autres personnes viendront toujours tenter de la réfuter par des éléments contraires et de même nature semant ainsi le doute dans l’esprit des gens.


Cependant, il existe une méthode irréfutable permettant d’affirmer l’authenticité, la véracité et la puissance unique de la Bible : par l’expérimentation de ses promesses et dans l’étude de la réalisation de ses prophéties. Cette expérimentation peut paraitre tellement simpliste que peu de gens veulent bien s’y adonner. Mais celui qui veut tenter l’expérience et ouvrir véritablement son cœur à Dieu s’en retrouvera transformé et découvrira que ce livre Saint est la seule solution aux problèmes de l’homme et le seul moyen pour se réconcilier et rencontrer Dieu en dehors duquel la destinées éternelle de chacun ne peut être que désastre et souffrance. Evidemment, Dieu ne s’imposera jamais et posera quelque fondement pour cela. Il dira par exemple dans la Bible :
« Celui qui s’apporche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherche. »Effectivement, s’approcher de Dieu en ne le croyant pas est une démarche vaine. Dieu nous demande simplement de croire puis de recevoir et non l’inverse. Il s’agit donc de lui faire confiance, « de le mettre à l’épreuve » et voir ainsi ses promesses se réaliser puis de persévérer dans cette démarche. Il dira aussi à travers l’écriture : « Approchez vous de Dieu et il s’approchera de Vous. » ou encore « Celui qui me cherche de tout son cœur me trouveras. ». Pour qui est sincère, les promesses de Dieu pour se laisser trouver ne manque pas ! La Bible dit que celui qui croira en Jésus et qui décidera de suivre ses commandement sera sauvé, il sera une nouvelle créature et une nouvelle vie avec Dieu commencera. Jésus n’a pas laissé d’autre choix. Il a affirmé être le seul chemin menant à Dieu. Les nombreux témoignages vidéos sur ce site vous en convaincront. (cliquez ici pour les témoignages : Témoignages vidéos). Pour bien comprendre qui est Jésus vous pouvez cliquer ici : qui est Jésus. Pour comprendre le message de la bonne nouvelle, n’hésitez pas à parcourir la rubrique Bonne nouvelle.

Analysons maintenant quelques données historiques et archéologiques.


L’exactitude historique des écritures est également dans une classe à part, de loin supérieure aux rapports écrits de l’Egypte, de l’Assyria, et d’autres nations antiques. Des confirmations archéologiques du récit biblique étaient presque innombrables au cours du 20ème siècle. Dr. Nelson Glueck, probablement le meilleur expert moderne de l’archéologie israélienne, a dit: “Aucune découverte archéologique n’a jamais réfuté un texte biblique. De nombreuses trouvailles archéologiques confirment en esquisse claire ou dans le détail des affirmations historiques de la Bible. De même, une évaluation exacte des descriptions bibliques a souvent conduit à des découvertes remarquables.”. Malgré une quantité incroyable de preuves, certains persistent à parler du Christ mythique. Voici ce qu’en dit Le Dr. Bruce, professeur de critique biblique et professeur émérite d’exégèse à l’université de Manchester, en Angleterre. C’est un exégète biblique de renommée mondiale 

« Si certains se plaisent à élaborer des théories sur un « Christ mythique », ils ne peuvent en tout cas pas le le faire sur la base des preuves historiques. L’historicité du Christ est aussi évidente pour l’historien impartial que celle de Jules César. Ce ne sont certes pas des historiens qui propagent les théories du « Christ-mythe ». » ( F.F Bruce. )
Il fut une certaine époque où l’exactitude historique de la Bible fut sérieusement mise en question. Les critiques étaient surtout mises en avance contre l’existence de certains personnages de la Bible, tels que le roi Sargon d’Assyrie, Belschazzar de Babylone et ainsi que le gouverneur romain Ponce Pilate. Après cela, des découvertes récentes ont prouvé l’existance de ces personnages, les uns à la suite des autres, donnant raison à la Bible.
Voici ce qu’a dit un historien, un certain Moshe Pearlman :  « Les sceptiques qui doutaient même de l’authenticité des parties historiques de l’Ancien Testament ont brusquement révisé leur point de vue.« 
cité d’Ur en Chaldée
La Bible est une bibliothèque qui compte 66 livres. Les 39 livres de l’Ancien Testament furent écrits entre 1450 a.v. J.-C. et les 27 livres du Nouveau Testament, entre les années 50 et 100 de notre ère. Le prophète Moïse commença les cinq premiers livres de la Bible un peu avant 1 400 a.v. J.-C. L’apôtre Jean est l’auteur du dernier livre de la Bible, appelé Apocalypse, écrit aux environs de l’année 95 de notre ère. Au cours des 1 500 ans qui séparent l’apparition du premier et du dernier livre de la Bible, environ 38 autres auteurs inspirés firent leur contribution. Certains d’entre eux étaient des gens d’affaires, d’autres furent bergers, pêcheurs, soldats, médecins, prédicateurs, ou rois; en un mot, ils venaient de toutes les couches sociales. Ils vécurent souvent dans des cultures et des philosophies très différentes.
Mais le plus étonnant c’est que lorsque l’on compile les 66 livres qui forment la Bible avec leurs 1 189 chapitres répartis en 31 173 versets, on trouve dans leur message une unité et une harmonie parfaites.


Supposons qu’un homme vienne frapper à votre porte. Quand vous lui ouvrez, il dépose un morceau de marbre sur votre plancher et s’en va sans mot dire. D’autres visiteurs suivent jusqu’à ce que 40 personnes aient déposé chacun un morceau de marbre numéroté par-dessus le morceau de marbre de celui qui l’a précédé. Au départ du dernier, vous êtes surpris de voir qu’une belle statue a été érigée. Vous apprenez par la suite que la plupart des « sculpteurs » ne se sont jamais rencontrés, car ils venaient de l’Amérique du Sud, de la Chine, de la Russie, de l’Afrique et d’autres parties du monde. Que diriez-vous? Que quelqu’un avait fait le plan de la statue et avait envoyé à chacun d’eux des instructions précises sur son morceau de marbre. La Bible entière transmet un message cohérent, tout comme une statue de marbre parfaite. Un esprit parfait, celui de Dieu, a tout planifié.
L’unité remarquable de la Bible prouve à elle seule que bien que des humains aient écrit les pensées, ils furent inspirés de Dieu. La bible, elle-même vient appuyer ce fait et affirme : « Car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que les hommes ont parlé de la part de Dieu. » (2 Pierre 1 :20, 21). « Toute écriture est inspirée de Dieu » (2 Timothée 3 :16, 17.)

Les premiers manuscrits de la Bible furent écrits à la main bien avant la création de l’imprimerie. Des scribes copièrent et distribuèrent les premiers manuscrits. On peut encore trouver des milliers de ces manuscrits en entier ou en partie. Les 39 livres écrient en hébreux et composant l’ancien testament furent réunis la 1ère fois aux environs de -300 Av J.-C dans une version traduite en Grec que l’on appelle « septante ». Dès cette date, des milliers de copies ont été dispercées dans le monde rendant impossible toute falsification. Pour le nouveau testament, les premiers manuscrits apparaitront rapidement quelques dizaines d’années après la mort et la résurrection de Jésus. La Bible dans son ensemble fut la première fois réunis par St Jérome dans la Vulgate, au 3ème siècle de notre ère.
En 1947, on découvrit des manuscrits de l’Ancien Testament qui dataient de 150 à 200 ans a.v. J.-C. C’est curieux de voir que des rouleaux qui datent de 2 000 ans contiennent exactement les mêmes vérités insérées dans les Anciens Testaments des Bibles d’aujourd’hui. Cela prouve clairement que la Parole de Dieu est digne de confiance.

Les apôtres écrivirent la plupart des livres du Nouveau Testament comme des lettres adressées aux églises chrétiennes fondées après la mort et la résurrection du Christ. Plus de 4 500 manuscrits du Nouveau Testament sont exposés dans les grands musés et les bibliothèques de l’Europe et de l’Amérique. Certains remontent au second siècle. En les comparant avec la Bible, nous pouvons facilement voir que le Nouveau Testament est resté intact depuis le moment où il fut écrit.


La bible est traduite dans plus de 95% des langues et demeure le livre le plus vendu au monde, plus de 150 millions d’exemplaire sont vendu chaque année. Ce simple fait prouve encore une fois la puissance des écritures car, il y a plus de 2000 ans, Dieu affirmera deux choses dans la bible concernant sa parole et ce qu’elle sera dans le futur : »Je veille sur ma parole, pour l’exécuter. » et « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin« . (Matthieu 24:14).


Nous ne pouvons que constater la Vérité : Aujourd’hui, la Bonne nouvelle du Royaume, à savoir l’Evangile, et par conséquent la Bible, est répandu à travers le monde entier et rare sont les personnes n’ayant pas entendu parler de Jésus. Dieu veille sur sa parole pour l’exécuter et ses prophéties s’accomplissent.


Maintes découvertes archéologiques ont confirmé la précision de la Bible. Les historiens ont découvert des tablettes d’argile et des monuments de pierre qui ont confirmé des noms, des endroits et des événements connus jusqu’alors seulement à travers la Bible.


Par exemple : selon Genèse 11 :31, « Abraham et sa famille sortirent d’Ur en Chaldée pour aller au pays de Canaan. » Étant donné que c’est seulement dans la Bible que Ur est mentionné, des savants affirmèrent qu’une telle ville n’a jamais existé. Mais les archéologues découvrirent la tour d’un temple dans le sud de l’Irak. Sur sa base cylindrique, un texte cunéiforme contenait le mot Ur. D’autres découvertes montrent Ur comme une métropole prospère et hautement civilisée. L’identité de cette ville a été oubliée. Seule la Bible a conservé son nom jusqu’à ce que la pelle des archéologues vienne confirmer son authenticité. Ur n’est que l’un des nombreux exemples où l’archéologie est venue confirmer la véracité de la Bible.


Ces dernières années, les archéologues ont également trouvé les trace d’un déluge universel, qui, selon la Bible, a eu lieu il y a plus de 4 000 ans. Cela ne fait que confirmer les récits à propos du déluge et de Noé.


Depuis la fondation de l’Etat d’Israël en 1948, les fouilles ne s’arrêtent plus. Les fouilles effectuées dans des ruines d’anciennes villes du Moyen-Orient confirment que les personnages bibliques, même les plus anciens, ont réellement existé.


Pierre de Moab
Obélisque noir trouvé par Henry Layard
Sur l’obélisque noir  trouvé par Henry Layard en 1845, il est question du roi d’Israël Jéhu qui a régné au IVème siècle av. J.C. Dans le chapitre 2 du livre des Rois dans la Bible, il est raconté exactement ce que le belisque nous montre, C’est-à-dire Jéhu, roi d’Israël Jéhu devant Salmanazar III, suzerain de l’Assyrie, après la défaite contre celui-ci. Qui peut maintenant nier l’existance du roi Jéhu après cette découverte ?

Il y a aussi la pierre de Moab découverte en 1868 par un missionaire alsacien. L’inscripiton de la stèle est rédigée en langue moabite  mais avec des caractères phéniciens. La stèle raconte les guerres entre les rois d’Israël, de Juda et d’Edom. On peut trouver ce récit dans l’Ancien Testament plus exactement en 2 Rois chapitre 3.
La stèle d’Hammourabi, trouvé en Iran en 1902, se trouvant actuellement au musée du Louvre à Paris. A ce sujet, nous vous conseillons ce lien pour des informations plus détaillées : L’histoire, l’archéologie et la Bible.
Parmi les objets qui constituent des preuves matérielles concrètes de l’existence de figures historiques ou de lieux marquants mentionnés dans la Bible, on trouve la stèle de Tel Dan qui mentionne le nom du roi David. Retrouvée en 1993 en Galilée et remontant au 9e siècle avant notre ère, cette stèle en basalte gravée d’inscriptions constitue, en dehors de la Bible, le plus ancien objet historique connu faisant référence à la maison de David. Ces données archéologiques sont intéressantes parce qu’elles rejoignent les témoignages apportés par un ange, par Jésus lui-même et par ses disciples, ainsi que par une foule anonyme, à l’appui de l’historicité de David (MJérémie 21:12 ; Matthieu 1:1 ; 12:3 ; 21:9 ; Luc 1:32 ; Actes 2:29).

Du fait de l’interdiction de l’esclavage, tous les palais des rois perses ont été construits par des ouvriers libres à une époque où les esclaves réalisaient généralement les grands travaux. De même, l’armée perse est une armée de conscription et de mercenaires. La même année, Cyrus promulgue un décret qui autorise le retour des juifs à la terre promise ; tout en les aidant matériellement et financièrement. Les livres bibliques des Chroniques et d’Esdras mentionnent toutes ces réformes de Cyrus.

La fidèle transmission des écritures et leur totale fiabilité

Extrait des manuscrits de la mer morte
On peut également acquérir la certitude que le texte des Saintes Écritures est authentique en examinant de près les manuscrits anciens qui nous sont parvenus. Cela permet de constater la précision avec laquelle les Écritures ont été copiées.
Les manuscrits de la mer Morte ( ou de Qumran ), sont l’une des plus importantes découvertes archéologiques du XXe siècle. Ils ont été retrouvés par un berger en 1947 dans une grotte près de la mer Morte, on y découvrit plusieurs jarres, soigneusement alignées contre une paroi. L’une des jarres, haute de 60 cm, avait été brisée par le jet de pierre du berger. Son contenu: des rouleaux de cuir collés ensemble, noircis et partiellement enveloppés dans des toiles.


Les Esséniens étaient les membres d’une communauté juive, ce sont eux qui ont protégé ces manuscrits en les plaçant dans des récipiants en terre, comme Dieu conseillait de le faire.
« Prends ces contrats, (…) mets-les dans un récipient de terre, pour qu’ils se conservent longtemps » (Jérémie 32,14).


Il s’agissait de rouleaux d’écriture vieux de plus de 2000 ans, parmi lesquels se trouvaient les manuscrits bibliques les plus vieux au monde.
On appelle ça un hasard de l’Histoire. N’est-ce pas frappant de penser que, le jour-même où les Nations Unies ont décidé du partage de la Palestine, le monde était mis en face de la plus sensationnelle des découvertes archéologiques du XXe siècle ? Car avec les exhumations consécutives, c’est un Ancien Testament hébreu presque complet, caché avant l’an 70, qui est réapparu, apportant au monde une double démonstration:

- 1° Le sort d’Israël est toujours étroitement lié à celui de ses propres Ecritures, appelées à resurgir des antres de la terre quand le peuple hébreu retourne en Israël.

-  2° le texte hébraïque transcrit au travers des siècles par des milliers de copistes juifs, base de la plupart des traductions modernes de l’Ancien Testament, est étonnamment confirmé dans son authenticité par ces documents, de mille ans plus anciens. Ils ont apporté la preuve que des siècles de copies et de recopies n’ont pas deformé le message de Dieu.

Les Manuscrits de la Mer Morte sont d’un millénaire plus récents que les manuscrits les plus anciens que l’on possédait de l’Ancien Testament : les manuscrits Masorétiques (le Texte Masorétique date d’environ 900 apr. J.C.; 916 pour celui d’Ésaïe.). Et lorsque ils furent examinés à la loupe, par les spécialistes du monde entier, ils révélèrent que les manuscrits utilisés jusqu’alors pour les traductions de l’Ancien Testament étaient effectivement dignes et valables.

Le livre d’Isaïe qu’ils contenaient a été daté vers 125 av. J.C., soit moins de cinq siècle après sa composition. Le texte est écrit en 54 colonnes sur 17 feuilles de cuir cousues ensembles bout à bout, d’une longueur totale d’environ 7,30 m.

Le bilan actuel des fouilles faites au cours des années dans les grottes surplombant la Mer Morte est le suivant : 100’000 fragments de vieux textes juifs, répartis en 870 manuscrits différents, dont 220 sont des textes bibliques de l’Ancien Testament. Tous les livres canoniques de l’A.T. y sont représentés, sauf celui d’Esther ( les scribes de Qumran ne pouvaient pas se fier à l’authenticité d’un livre où ne figure pas le nom de Yahvé ).
On estime à plus de 13 000 le nombre de manuscrits des Écritures grecques accessibles aujourd’hui. Leur étude révèle que le texte original des Écritures grecques chrétiennes a lui aussi été préservé avec exactitude. Par exemple, l’Institut allemand d’études textuelles sur le Nouveau Testament a mis à la disposition des chercheurs environ 95 % de ses quelque 5 300 copies manuscrites des Écritures grecques chrétiennes, soit sur microfilms, soit en reproductions photographiques. Leur comparaison permet de se faire une idée de l’exactitude avec laquelle le texte biblique a été transmis jusqu’à notre époque. La rédaction originale des Écritures grecques chrétiennes et celle des plus anciens manuscrits sur papyrus qui soient parvenus jusqu’à nous ne sont séparées que d’un intervalle très court, au maximum 25 ans.

Si, malgré tout, vous continuez à juger que la Bible est peu digne de foi, au point de vouloir l’éliminer, il vous faut aussi éliminer par exemple Platon, Aristote, Jules César, Tacyde ou Homère ! Car les manuscrits chrétiens sont de très loin plus nombreux et plus exacts que tous les autres manuscrits historiques anciens. En fait, c’est toute l’Histoire de l’humanité qu’il faudrait éliminer, car elle repose souvent sur des manuscrits bien moins dignes de foi que ceux de la Bible.


Dans l’ensemble, nous possédons pour la Bible des manuscrits 1000 fois plus nombreux et sans comparaison plus anciens que pour les autres grands classiques de l’Antiquité, ceux d’Homère ou de Tacite, par exemple.


Qu’est-ce qui a permis la conservation des textes sacrés ? La Sainte Ecriture, minutieusement copiée et recopiée, a survécu à la fois à l’usure des siècles et des millénaires et aux tentatives de destructions humaines. «
 Vous n’ajouterez rien aux paroles des commandements que je vous donne, et vous n’y enlèverez rien, afin de garder les commandements du Seigneur votre Dieu que je vous donne. » Deutéronome 4:2
« Je l’atteste à quiconque entend les paroles prophétiques de ce livre: Si quelqu’un y ajoute, Dieu lui ajoutera les fléaux décrits dans ce livre. Et si quelqu’un retranche aux paroles de ce livre prophétique, Dieu retranchera sa part de l’arbre de vie et de la cité sainte qui sont décrits dans ce livre. » (Apocalypse 22:18-19).

Dès le départ, des hommes ont réalisé des copies à la main (manuscrits) des textes originaux de l’ensemble des Saintes Écritures. Cela s’est fait par des prêtres aaroniques sous la surveillance de Dieu, qui voulait que sa direction soit connue et respectée des hommes. Voir Deutéronome 17:18 : « il écrira pour lui, dans un livre, une copie de cette loi« . Les copistes se montraient extrêmement méticuleux dans leur travail. Par exemple, les anciens copistes hébreux allaient jusqu’à compter chaque lettre de la Torah pour éviter que des erreurs ne soient introduites lors des recopies. Chaque fois qu’ils copiaient un manuscrit, ils comptaient les lettres de leur exemplaire et comparaient celui-ci à l’original pour s’assurer que les deux étaient identiques. On rapporte qu’ils avaient recensé 815 140 caractères dans les Écritures hébraïques. Ils comptaient le nombre de versets, de mots et de lettres dans chaque livre. Ils ne se sont jamais permis de corriger eux-mêmes leurs manuscrits; si une erreur leur avait échappé, ils rejetaient le papyrus ou la peau qu’ils avaient blanchi et recommençaient à neuf. Cela démontre comment ces prêtres avez crainte de Dieu, et ne pourraient jamais modifier les textes bibliques car pas seulement ils étaient surveillés comme ils ne pouvaient pas commettre une seule petite erreur, même des signes ou des accents, qui ne servaient plus à rien et qui ne changeait pas le sens des écrits, étaient recopiés comme tels sans aucune modification. En copiant les manuscrits originaux, les scribes juifs ont fait preuve du plus grand soin possible. Même, chaque fois qu’ils écrivaient le nom de Dieu, peu importe la forme, ils devaient respectueusement essuyer leur plume et se laver en entier avant d’écrire  » Yahvé ». La nouvelle copie était examinée et soigneusement comparée à l’original presque immédiatement, et si on décelait une seule lettre incorrecte, la copie était entièrement rejetée. En plus chaque nouvelle copie devait être faite à partir d’un manuscrit approuvé.
Imaginez cela dans des dizaines de synagogues différentes avec des centaines de prêtres aaroniques éparpillés partout dans le Moyen-Orient (Israël, Iran, Babylone) ainsi qu’en l’Egypte et en Grèce. Ce serait donc inconcevable de changer quoi que ce soit. Pour changer un seul accent dans un des manuscrits, il faudrait également changer le même accent dans des centaines d’autres manuscrits éparpillés un peu partout que ce soit en Moyen-Orient ( Israël, Iran, Babylone ), Grèce, Egypte et pourvu que ces prêtres aaroniques craintifs de Dieu soient d’accord pour le faire.

Au premier siècle de notre ère, Jésus lui-même et ses disciples ont cité les copies qui existaient à l’époque sans exprimer le moindre doute sur l’exactitude du texte (Luc 4:16-21 ; Actes 17:1-3). Pour les chrétiens, la façon dont Jésus Christ considérait les premiers livres de la Bible confirme l’intégrité textuelle des Saintes Écritures. Des remarques telles que : “ N’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse ? ” ou : “ N’est-ce pas Moïse qui vous a donné la Loi ? ” montrent que Jésus jugeait dignes de foi les copies manuscrites disponibles quand il était sur la terre (Marc 12:26 ; Jean 7:19). Par ailleurs, il a confirmé l’intégrité de l’ensemble des Écritures hébraïques lorsqu’il a dit : “ Il fallait que s’accomplissent toutes les choses qui sont écrites à mon sujet dans la loi de Moïse et dans les Prophètes et les Psaumes. ” — Luc 24:44.


La précision de ceux qui ont copié les Écritures au cours des siècles a permis une transmission exacte du texte jusqu’à nos jours. Le diable ne souhaite pas que les hommes accèdent à la direction venant de Dieu. Par conséquent, il est logique de penser que lui et ses suppôts allaient s’efforcer de falsifier les Saintes Écritures dans l’objectif d’égarer les humains et de les éloigner de Dieu. Au cours des siècles, divers individus ont essayé de leur ajouter des versets. Mais ont-ils réussi à fausser les paroles de Dieu ? Dieu allait-il les laisser faire ? Non ! Dans les Écritures, Dieu affirme à maintes reprises qu’il préservera ses paroles. On lit en Isaïe 40:8 : “ L’herbe verte s’est desséchée, la fleur s’est flétrie, mais la parole de notre Dieu, elle, durera pour des temps indéfinis. ” (Voir aussi 1 Pierre 1:24, 25). Par conséquent, toutes les tentatives visant à modifier les paroles de Dieu ont échoué parce qu’il est inconcevable que Dieu permette une quelconque altération de ses livres. Dieu a fait la promesse de veiller sur sa parole (Jérémie 1:12; Isaïe 55:11).

Retour aux découvertes archéologiques


Parmi les récentes découvertes faites ces dernières années, les fouilles d’un certain professeur ont permis la mise à jour d’une ville israélite du 7ème siècle avant Jésus-Christ, construite sur les ruines d’une ville dont l’origine remonte à l’époque du roi David. Au centre de cette ville, on a trouvé un sanctuaire païen contenant divers objets relatifs au culte d’Astarté, divinité païenne, déesse de la fécondité. Tout cela confirme le texte biblique d’Amos le prophète.

Par les découvertes archéologiques, le contexte culturel dans lequel s’insère la Bible se met à revivre. Au fur et à mesure que les fouilles progressent, un certain nombre d’idées préconçues vont se révéler comme fausses et être abandonnées, telles celles qui considéraient le peuple hittite dont la Bible parle comme un peuple légendaire. Il n’existait en effet, aucune trace historique de ce peuple en dehors de la Bible. Quelle ne fut pas la surprise le jour où l’on découvrit les restes d’une civilisation fort brillante et qui se révéla être la mystérieuse civilisation des Hittites dont seule la Bible avait gardé le témoignage. C’est ainsi que l’on a appris qu’il faut bien se garder d’idées préconçues, même à l’égard de la Bible.
L’archéologie a donc apporté, au 20ème siècle, des preuves directes de l’authenticité de la Bible, des preuves indirectes de cette même authenticité, des parallèles intéressants confirmant les coutumes des civilisations au milieu desquelles se sont déroulées les histoires bibliques. Et enfin, l’archéologie ne cesse d’apporter des éléments utiles à la compréhension du texte biblique. La paléontologie vient également apporté des preuves ahurissantes concernant les géants relaté dans la bible ou encore l’existence de dinosaures à des temps bibliques tout comme le déluge relaté dans la Bible. A ce sujet nous vous conseillons l’excellent livre de Hans Joachim Zilmer en cliquant ICI. Consultez aussi cet article pour analyser de nombreuse preuves scientifiques venant confirmer l’inspiration divine de la Bible : La Bible certifiée par la science.

La critique littéraire

Il y a un domaine dans la science littéraire appelé, « La critique littéraire ». Par elle, les savants font un examen critique d’un document ancien pour déterminer sa fiabilité. Les historiens appliquent plusieurs tests pour déterminer son authenticité.

1er test : Combien existe-t-il de copie du manuscrits et sont-ils semblables les uns avec les autres ? Plus il y a de manuscrits et plus ils sont semblables, plus on peut être certain qu’ils sont conformes à LA COPIE ORIGINALE. Au collège ou au lycée, vous avez sans doute lu « L’Iliade » de Homère, ou « L’Odyssée ». Vous avez étudiez Platon ? Il y a 7 copies du manuscrit des Tétralogies de Platon. Il y a 10 manuscrits de la Guerre des Gaules de César. Il y a 643 manuscrits de « L’Iliade » de Homère. Vous dites peut être, ça fait beaucoup ? Qu’en est-il du Nouveau Testament ?


Il y a environ 24 000 portions de manuscrits du N.T. qui datent des 1er siècles de la chrétienté : 5000 manuscrits en Grec, 10 000 en latin, 9000 en d’autres langues. C’est sur la base de cette analyse que le Dr Descouvemont, Docteur en théologie, dans un livre de référence sur les difficultés de la foi, peut conclure : « Tous les historiens, croyants ou non, sont obligé de reconnaître qu’aucun livre de l’antiquité ne nous a été transmis dans d’aussi parfaites conditions que l’ensemble des livres du Nouveau Testament. ».
Norman Geisler et William NIX, 2 grands spécialistes et docteurs en théologie de réputation mondiale, ont conclut que non seulement le nouveau testament a donc survécu dans un plus grand nombre de manuscrits que tout autre livre de l’Antiquité, mais encore avec un degrès de pureté qui dépasse celui de n’importe quel autre grand livre, à 99,5 %. Voilà pour la fiabilité.
Il peut être pratique de connaître la date de rédaction de ces documents. L’un des plus éminents chercheurs en critique biblique, F. F. Bruce, date les 4 évangiles comme suit : Matthieu, entre 70 et 80 ap. J.-C.;  Marc, au début des années 60 ap. J.-C.; Luc, vers la fin des années 60 ap. J.-C. et finalement Jean, entre 90 et 100 ap. J.-C. Les 13 livres attribués à l’apôtre Paul sont datés entre 48 et 64 ap. J.-C.[1]
Et qu’en est-il de L’Ancien Testament ? En 1948, Sir Frédérick Kenyon, fit imprimer son livre, « Notre Bible et les anciens manuscrits. » Dans son livre ce grand savant écrivit qu’il doutait que des savants puissent jamais trouver des copies de manuscrits des textes Hébreux de l’A.T. plus anciens que les textes Massorétiques. Les textes des Massorètes de l’A.T. furent écrits entre l’an 500 et 950, par un groupe de scribes Hébreux appelé « les Massorètes. »
Quand Kenyon écrivit son livre en 1947, le texte Hébreux des Massorètes, était le plus vieux texte de l’A.T. Mais, pour ainsi dire, au même moment que son livre sort de presse, à des milliers de kms de là, un jeune garçon Arabe, le long de la Mer Morte, découvrit une jarre contenant de vieux manuscrits. Ce furent les premiers de toute une collection qui fut connue sous le nom de : « Les Manuscrits de la Mer Morte. » Bientôt les archéologues fouillèrent les cavernes de toute la région. Ils découvrirent des fragments de chaque livre de l’A.T. et plusieurs copies complètes. Les recherches révélèrent qu’ils avaient été produit à Qumran, un lieu judaïque, qui existait entre 125 avant J.C. et 68 après J.C. Ces écrits de l’A.T. dataient d’environ 100 ans avant J.C. Ce qui veut dire, environ 1000 ans avant les textes Massorétiques.

Si avec le temps, des changements se sont introduits dans l’A.T. cela serait vite découvert en comparant les textes des Massorètes avec les « Manuscrits de la Mer Morte ». Les seules variantes sur 1000 ans, se rapportent à ce qui pourrait être cataloguer comme « Des erreurs minimes d’orthographe ! »


Nous, nous ne sommes pas capables de signer deux fois de la même façon ! Eh bien ! Les scribes juifs ont transcrit fidèlement l’Ecriture pendant 1000 ans. Nous possédons aujourd’hui dans la Bible le texte authentique des écrits de Moïse, David et les prophètes. Si nous appliquons les mêmes règles de la critique littéraire, il y a au moins 100 fois plus d’évidence pour la Bible que pour n’importe quel autre livre ancien.
Stèle Tel Dan

Encore et toujours des confirmations 

archéologiques


Des Collines Du Nord d’Israël au désert du Yémen, une trame de découvertes archéologiques ont fourni les premières évidences solides pour plusieurs figures et événements bibliques dont plusieurs avaient été relégués comme mythes et contes moraux. Individuellement, les découvertes sont importantes. Ensemble elles secouent le terrain de l’archéologie biblique et étayent les croyants qui avaient pris ces paroles par la foi. La plus importante des nouvelles découvertes, comme vu plus haut, est l’évidence de l’existence du Roi David. La Bible dit que l’enfant David a tué le géant philistin Goliath et il est allé fonder Jérusalem. L’histoire de David est un conte passionnant de meurtre, adultère, supercherie et de foi extraordinaire et de courage. L’histoire est si fantastique, que quelques historiens ont dit qu’il était juste un caractère de légende juive – il n’existait pas vraiment. Pourquoi ? Parce que pendant des siècles, il n’y avait aucune évidence archéologique de son existence. En 1993 les archéologues israéliens, en creusant dans les Hauteurs du Golan ont déterré un morceau de pierre d’un monument ancien. Inscrit sur cette pierre, en araméen ancien, étaient les mots “ Roi d’Israël” et “Maison de David.” L’histoire a tellement secoué quelques savants qu’ils ont insisté à dire que la découverte était fausse ou l’inscription était traduite incorrectement. Cependant, une année plus tard les archéologues ont trouvé plus de fragments du monument avec les inscriptions supplémentaires se reportant à l’ancien roi. Aujourd’hui le nouveau consensus des savants c’est que David était vrai. Pas parce que la Bible le dit, déclare Ronny Reich de l’Autorité des Antiquités israélienne, mais parce que “l’archéologie l’a trouvé.”
Dans les quatre évangiles il est rapporté qu’il y avait un gouverneur Romain nommait Ponce Pilate. Mais dans aucun autre endroit, il n’est question de l’existence de ce personnage ! Alors certains ont mis en doute la véracité de ces récits bibliques à cause de cela. Pendant des siècles, les historiens ont mis en doute l’existence de Ponce Pilate jusqu’à ce qu’une tablette de pierre, portant son nom, soit mise à jour à Césarée en 1961. Aujourd’hui, vous pouvez visiter les ruines de Césarée et lire que Ponce Pilate a réellement existé. Non, parce que la Bible le dit, mais l’archéologie le confirme. Voilà deux exemples au milieu de centaine d’autres, qui démontrent comment l’archéologie moderne confirme la Bible.
Alors, la Bible est-elle vraie ? La critique littéraire dit qu’elle est plus fiable que n’importe quel autre texte. L’archéologie vient étayer cette motion. Après avoir analysé la Bible à la lumière de l’Histoire et de l’archéologie, l’écrivain Werner Keller a dit en introduction de son livre La Bible arrachée aux sables: “Devant la multiplicité des preuves que nous a fournies la science, je ne puis m’empêcher de […] me répéter encore et toujours: La Bible a raison.”

Oui, la Bible est un récit mettant en scène des personnages qui ont réellement existé – dont certains ont plu à Dieu et d’autres non –, récit que Dieu a inspiré et préservé. Elle surpasse donc tous les autres livres. Elle n’est certainement pas une froide liste des choses à faire et à ne pas faire, ou un recueil de petites histoires mignonnes pour distraire les enfants. Bien entendu, Dieu s’est servi de rédacteurs humains. Mais cela ne fait que rehausser le récit biblique, lui conférant une chaleur attirante qui ne cesse d’émouvoir les lecteurs génération après génération.
L’archéologue William Albright a affirmé: “Le profond discernement moral et spirituel de la Bible, qui est une révélation unique de Dieu aux humains communiquée au travers de l’expérience humaine, est aussi aiguisé aujourd’hui qu’il y a deux ou trois mille ans.” L’analyse de la nature de Dieu et de la Bible à la lumière de la science vient encore davantage appuyer l’histoire et l’archéologie. Enfin, cerise sur le gateau, l’analyse des prophéties bibliques vient appuyer définitivement le caractère Divin de la Bible et l’existence irréfutable de Dieu. (voir vidéo à ce sujet dans la catégorie prophétie).

L’expérience détruit définitivement tout doute

Mais il reste un dernier Point qui est de loin le plus important : La preuve par l’expérimentation
Cette dernière démonstration de la véracité de la Bible se trouve dans le témoignage de ceux qui y ont cru. Des multitudes de gens, passés et présents, ont trouvé par expérience personnelle que ses promesses sont vraies, que ses conseils sont justes, ses commandements et limitations sages, et que son message merveilleux de salut correspond aux besoins à la fois pour maintenant et pour l’éternité. Que cela soit les miracles de guérisons, le miracle des cœurs transformées par la foi en Jésus, les délivrances des mauvais esprits par la puissance de Dieu, la délivrance des addictions diverses et variées par l’invocation du nom de Jésus, tout cela démontre de manière irréfutable la vérité et l’accomplissement de chaque parole de Dieu.
De nos jours, nous sommes encore mieux placés que nos grands-parents pour admettre l’authenticité de la Bible. L’histoire de l’Antiquité, les nombreuses découvertes, l’actualité vérifiant les textes prophétiques sont autant de preuves mises à notre disposition aujourd’hui. Que nous faut-il alors de plus ? Il s’agit d’une simple question d’honnêteté morale et une acceptation logique de la vérité. Dans l’épitre aux romains, Dieu dira de ceux qui l’ont rejeté : « Ils sont donc inexcusables« .
Au-delà donc de toutes ces preuves, il en existe une autre, non moins importante. En effet, le lecteur de la Bible découvre lui-même cette authenticité. En lisant ses pages, il l’a ressent, au plus profond de son être. Ce témoignage intérieur bouleversant est encore supérieur à tous les autres arguments, les plus convaincants soient-ils. Il est supérieur à toutes les preuves les plus tangibles soient-elles. L’argument des légendes et des mythes face à tous ces moyens de contrôle ne reste qu’un prétexte finalement pour fuir ce livre, dont on sait que le contenu nous interpelle. Et pourtant la Bible affirme que l’aurore d’une vie nouvelle et meilleure se trouve dans la confiance et l’obéissance à son message.
La Bible est aussi unique en termes de ses effets sur des individus et sur l’histoire des nations. C’est le best-seller de tous les temps, attirant les coeurs et les esprits, aimé par au moins quelques uns parmi chaque race ou nation ou tribu où il a été répandu, que ce soit des riches ou des pauvres, des érudits ou incultes, des rois ou des gens ordinaires, des gens littéralement de tous les arrière-plans ou niveaux de vie. Aucun autre livre n’a jamais eu un tel attrait universel ni produit de tels effets durables.

Étudier la Bible fortifiera votre intelligence et vous habilitera à vaincre des habitudes néfastes. Elle vous aidera à croître physiquement, mentalement, moralement et spirituellement.

La Bible parle au cœur. Elle traite des expériences de l’humanité-naissance, amour, mariage, éducation des enfants, et mort. Elle guérit les blessures les plus profondes de la nature humaine, ainsi que le péché et la misère qui en résultent.

La Parole de Dieu n’est pas le livre d’une race, d’une époque, d’une nation ou d’une culture. Bien qu’elle ait été écrite au Moyen-Orient, elle interpelle les hommes et les femmes de l’Occident. Elle entre chez les humbles tout comme dans le palais du riche. Les enfants aiment ses histoires passionnantes. Ses héros stimulent les jeunes. Le malade, le solitaire et le vieillard y trouvent du réconfort et de l’espoir pour une vie meilleure.

Puisque Dieu est à l’œuvre dans la Bible, elle renferme une grande puissance. Elle brise les cœurs endurcis qui n’éprouvent plus aucun sentiment humain, les adoucit et les remplit d’amour. Nous avons vu la Bible transformer un bandit et un fumeur d’opium en prédicateur zélé. Nous avons vu la Bible transformer un menteur et un trompeur en professeur honnête et juste. Nous avons également vu ce livre arracher des gens au suicide et leur donner un nouveau départ. La Bible suscite l’amour dans le cœur des ennemis. Elle rend l’orgueilleux humble et l’égoïste généreux. Elle nous fortifie quand nous sommes faibles, nous console dans le chagrin, nous guide dans l’incertitude et nous soulage de nos fatigues. Elle nous enseigne à vivre courageusement et à mourir sans crainte. Par dessus tout et malgré nos innombrables fautes, elle nous réconcilie définitivement avec Dieu par l’intermédiaire de son fils unique Jésus et nous ouvre les portes du ciel et du royaume de Dieu.

La Parole de Dieu, la Bible peut changer votre vie et là est le but et le sens de la vie : La réconciliation avec Dieu et une vie d’amour dans sa communion grâce à son fils unique Jésus.
« Mais ces vérités de la Bible ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom. » – Jean 20 :31.La meilleure raison pour laquelle nous devrions nous familiariser avec les Saintes Écritures est qu’elles contiennent de nombreuses images du Christ et nous donnent l’assurance de la vie éternelle. En contemplant Jésus à travers la Bible, nous sommes transformés et façonnés à son image. Alors pourquoi ne pas commencer tout de suite à découvrir la puissance de la Parole de Dieu qui peut vous faire ressembler davantage à Jésus? Une simple prière à Dieu peut faire rentrer chacun dans la réalité divine. Il s’agira ensuite de ne jamais s’éloigner de la Vérité de Dieu et de toujours persévérer dans la connaissance de ce Dieu aux ressources illimités.
Pour plus d’informations sur la thématique abordée dans cet article, nous vous conseillons l’excellent livre « L’archéologie confirme la Bible » D’alfred Kuen, l’ouvrage « La Bible et l’archéologie » de Matthieu Richelle ou encore le livre « Jésus » de Jean-Christian Petitfils.

Source : Rencontrez Dieu